Le curé lui répond qu'il n'en sait rien, mais qu'il va se renseigner.
Quelques jours plus tard, le curé lui annonce : "Bonne nouvelle, il y a des tournois de bridge au paradis.
Ci devant un fort galant homme qui, au bridge, sort de ses gonds, ne se possède plus; un soir que sa femme commettait force impairs, il finit par jeter les cartes en s'écriant : "j'aimerais mieux encore que tu me trompes !"
On entendit un murmure : 'l'un n'exclut pas toujours l'autre !"
Le déclarant est au contrat de 3SA, il réalise les neuf premières levées, pose son jeu sur la table et dit à son adversaire : "Je vous donne le reste".
L'adversaire de répondre : "Mais comment jouez-vous exactement ?"
Les bons conseils du prof de bridge aujourd'hui : "Comptez vos gagnantes et comptez vos perdantes. Si le total ne fait pas 13, comptez vos cartes..."
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Un type a l'habitude de jeter un coup d’œil dans le jeu des autres (c'est bien connu, "un bon coup d'oeil vaut mieux qu'une mauvaise impasse").
Il tombe sur un adversaire qui le connaît, ce dernier a à Pique Roi-5 dans sa main, et il fait exprès de cacher le 5.
Le type, voyant un Roi sec, demande 7SA. Il tire l'As de Pique, le Roi ne vient pas...
Furieux, il quitte la table en disant "Je ne joue pas avec des tricheurs !"
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Le même type apprend le Blackwood 5 clés et s'intéresse à la demande de la Dame d'atout, après la réponse de 5♣ ou 5
♦ (l'enchère immédiatement au-dessus de la réponse, à l'exception de l'atout).
Il voit qu'il y a 2 sortes de réponses : ou vous avez la Dame, ou vous ne l'avez pas.
Il en a inventé une troisième : "Je n'ai pas la Dame, mais je sais qui l'a"...
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Entendu lors d'un tournoi mixte, une dame s'adressant à son partenaire et époux : « Tu sais que j'ai une petite ouverture, et toi tu pousses, tu pousses ! »
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L'actrice américaine Mae West (1892-1980), qui a donné son nom à un célèbre gilet de sauvetage, semble être la première à avoir annoncé la vérité suivante : « la satisfaction sexuelle est comme une partie de bridge : si tu n’as pas un bon partenaire, il vaut mieux avoir une bonne main ! »
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"Mais je ne pouvais quand même pas lui donner mon cœur !", proteste auprès de son partenaire cette ravissante dame qui vient de mal se défausser.
"Croyez, Madame, que je n’aspire pas si haut !" réplique l’adversaire.
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Un couple vient s’asseoir à une table d’un paires mixte où une dame se trouve seule. « Veuillez nous excuser, dit la présente dame, mon mari est parti aux toilettes ».
Puis elle rajoute : « D’ailleurs, c’est le seul moment où je sais ce qu’il a dans les mains ».
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Ely Culbertson (un des pères du bridge moderne) usait de termes à connotation sexuelle pour décrire les principes de son système : un sur un, approche forcing…
On lui demanda une fois si tous les termes qu’il employait dans son système d’enchères avait vraiment une telle connotation : ainsi, quand était-il pour le terme « barrage » ?
"Je vais vous raconter une anecdote" dit Ely.
Dimanche soir dernier, je m’en retournais chez moi après une longue séance de Bridge Contrat.
Il était deux heures du matin. Joséphine était déjà endormie, aussi je saisis deux cachets d’aspirine et un verre d’eau dans la salle de bain, m’approchai du bord du lit, réveillai Jo et lui dis : "C’est pour toi".
"Mais je n’ai pas de migraine", me dit-elle !
Oh, très bien, alors faisons l’amour !
Voilà ce qu’est un barrage !
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Un couple de bridgeurs se rend dans une ville de province pour disputer un festival. Dans l'unique hôtel libre, il ne reste plus que deux chambres à un lit.
"Comment ferons-nous, demande l'homme à sa femme, si l'un de nous ressent un grand besoin de tendresse pour l'autre ?"
"C'est très simple, répond l'épouse, il ira frapper à la porte de l'autre et fera une annonce de bridge. Si l'autre est d'accord, il surenchérira, s'il n'est pas d'accord, il dira passe".
Le premier soir, l'homme va frapper à la porte de la chambre de sa femme.