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Après l'entame, et une fois le mort étalé, que ne voit-on moultes déclarants appeler dans la foulée une carte du mort.
Même si le mort est singleton dans la couleur d'entame, un bon déclarant prend systématiquement le temps d'établir un plan de jeu, avant d'appeler la moindre carte du mort. Il analyse la situation, même avec des mains "faciles". Dans les cas plus difficiles, il lui faut étudier les problèmes, trouver et appliquer la bonne technique (voir l'hebdobridge n° 3 : techniques du jeu pour le déclarant).
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Notre club (Club de Bridge Saint Lambert), ... non ..., tous les clubs de bridge essayent d'être un maximum convivial !
Les tournois dits "de régularité" (chez nous, tous les jeudis après-midi) s'adressent souvent à des joueurs de niveau moyen, voire des débutants, et notre club n'échappe pas à la règle.
Vous relirez le paragraphe n° 6 de notre règlement (Règlement du club) qui spécifie : ..."Le but du club est de promouvoir un bridge convivial. Il ne s'adresse pas aux joueurs "professionnels et assimilés", ni à ceux qui ne pensent qu'aux règles strictes, au code et à l'appel fréquent à l'arbitre. Au contraire, nous voulons accueillir les paires moyennes mais aussi les paires moins expérimentées, auxquelles les paires plus aguerries se feront un devoir de mieux faire connaître notre jeu favori, en toute convivialité."
On attend donc de tout un chacun d'être aimable, correct, flexible, de ne pas hausser le ton intempestivement, de toujours rester courtois et souriant.
La réalité de tous les jours est hélas parfois bien différente.
Voici l'extrait d'un article du Bridge Info (revue officielle de la ligue des cerches de bridge de la communauté française belge) n° 169 (page 32, 3ième trimestre 2017). L'article est intitulé "Formation au Bridge au CB Smohain" : ..."Cependant tout n'est pas toujours rose. Lors des premiers tournois avec participation de néophytes, l'un ou l'autre joueur averti a préféré appliquer aggressivement le code et gagner une levée au lieu de proposer simplement la rectification de l'erreur du débutant. En un instant, on réduit ainsi à néant plusieurs mois d'efforts pour intégrer ces nouveaux adeptes. En effet, depuis, les victimes de ce comportement maladroit ont malheureusement renoncé à fréquenter les tournois hebdomadaires pour se tourner vers un "bridge des familles"".
Et cet exemple n'est qu'un des nombreux comportements qui nuit profondément et souvent durablement à la bonne anbiance des clubs.
N'oubliez pas que nos tournois de régularité sont là pour nous divertir, évoluer dans notre bridge (Christian Dexhorez, membre du comité et professeur de bridge se fait toujours un plaisir de fournir des explications sur l'une ou l'autre donne du jour), faire la connaissance d'autres joueurs dans une ambiance chaleureuse.
Si à la table, l'un ou l'autre joueur vous importune, de quelle que manière que ce soit, n'hésitez pas à appeler discrètement et immédiatement l'un des membres du comité présent afin de règler le différent et de prendre les mesures qui s'imposent, que ce soit par rapport au règlement ou à l'attitude des joueurs.
Pour terminer, quelques conseils de la Fédération Belge Francophone : Soyez Sympa !
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L'hebdobridge n° 36 vous a donné l'exemple d'une carte pénalisée.
Il s'agissait du cas où un joueur défausse une carte, alors qu'il devait suivre dans la couleur, et que ce fait a été constaté par ses adversaires.
Il y a bien d'autres cas où une carte est pénalisée, on en reparlera dans un futur hebdobridge !
La carte est donc pénalisée : elle est laissée face visible sur la table devant le joueur à qui elle appartient.
Je passe ici volontairement la notion de carte pénalisée principale et secondaire, afin que les explications restent ... compréhensibles pour tout un chacun, sachant de toute façon que le cas d'une carte pénalisée secondaire est encore plus rare que celui d'une carte pénalisée principale !
- s'il interdit de joueur la couleur de cette carte
- s'il exige de joueur de cette couleur.
- si le déclarant exige ou interdit, la carte l'est plus pénalisée et le joueur la reprend dans sa main.
- si le déclarant laisse le joueur libre d'attaquer ce qu'il veut, la carte reste pénalisée.
Je détaille un rien le point 1 ci-dessus énoncé :
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L'hebdobridge n° 36 vous a donné l'exemple d'une carte pénalisée.
Il s'agissait du cas où un joueur défausse une carte, alors qu'il devait suivre dans la couleur, et que ce fait a été constaté par ses adversaires.
Il y a bien d'autres cas où une carte est pénalisée, on en reparlera dans un futur hebdobridge !
La carte est donc pénalisée : elle est laissée face visible sur la table devant le joueur à qui elle appartient.
Je passe ici volontairement la notion de carte pénalisée principale et secondaire, afin que les explications restent ... compréhensibles pour tout un chacun, sachant de toute façon que le cas d'une carte pénalisée secondaire est encore plus rare que celui d'une carte pénalisée principale !
- s'il interdit de joueur la couleur de cette carte
- s'il exige de joueur de cette couleur.
- si le déclarant exige ou interdit, la carte l'est plus pénalisée et le joueur la reprend dans sa main.
- si le déclarant laisse le joueur libre d'attaquer ce qu'il veut, la carte reste pénalisée.
Je détaille un rien le point 1 ci-dessus énoncé :
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Ne vous méprenez pas, je ne vais pas vous conter ici l'une ou l'autre histoire pour enfants !
Je vais très sérieusement vous parler (encore !) de bridge, et plus précisément de la situation qui n'est point rare, du fameux passe "Blanche-Neige".
- Court dans l'intervention (ici à ♠), le partenaire y est forcément long (le n°4 n'a pas soutenu).
- Long dans l'intervention, le partenaire y est court et faible
- Fort, à partir de 17H
- Court dans l'intervention, dans tous les cas