Cercles de Bridge Woluwé-Saint-Lambert
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Hebdobridge n° 141 : la loi n° 6 article A, le mélange des cartes

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La loi 6 du Code de Bridge International, édition 2017, article A, explique qu'il faut mélanger les cartes, voici comment : "Avant que le jeu ne commence, chaque jeu de cartes est complètement mélangé. Il doit y avoir une coupe si l’un des adversaires le demande."

Vous n'êtes pas sans savoir que cette règle n'est, depuis avril 2023, plus d'application dans notre club (Cercles de Bridge Woluwé-Saint-Lambert, www.cbwsl.be) vu que c'est un programme d'ordinateur - souvent contesté, contestation à chaque fois réfutée - qui fait le mélange, et une machine infernale, j'ai nommé le Play Bridge Dealer 4, qui, obéissant aveuglément au programme en question, place, en un temps record (le record absolu semble être de cinq secondes trois dixièmes), les cinquante-deux cartes du paquet dans l'étui, ouvert sous lui à cet effet, et que le préposé "je-ferme-les-étuis" fasse son boulot pour ... refermer le dit étui, au préalable ouvert par le "j'ouvre-l'-étui", dont les cartes sont retirées par le responsable "je-retire-les-cartes", et placées dans l'avaleuse de la machine par "je-place-les-cartes-dans-le-bidule-à-bouffer-les-cartes".

Cependant, sans doute jouez-vous encore dans l'un ou l'autre club, voire en famille, ou en tournante, où ce merveilleux outil qui, en "anciens francs belges" coûterait, neuf, environ cent quatre-vingts mille balles, ne fait pas partie de votre matériel habituel.

Et donc, dans ces cas-là, vous aurez plus d'une fois l'occasion de devoir mélanger un paquet de cartes, comme l'indique l'article A de la loi 6 du C.I.B. 2017. Mais ce que ne dit pas le règlement, c'est comment il faut mélanger ce p... de paquet de cartes !

Et je suis là pour vous y aider, chers lecteurs !

Voici quelques manières classiques de faire :

1. Mélange à l'Américaine
Il s’agit de couper le paquet en deux à un endroit aléatoire et de regrouper les deux paquets en intercalant leurs cartes respectives.
On répète l'opération "le nombre de fois nécessaire".
 
2. Mélange à la Française
Pas évident à expliquer : vous allez mélanger les cartes du paquet en extrayant à chaque fois un petit paquet de cartes du jeu et en le replaçant à l'avant du paquet.
Vous répétez l'opération "un certain nombre de fois".
 
3.Mélange énumératif
Vous étalez le jeu sur la table, plic-ploc, un vrai foutoir, puis vous prenez les cartes une par une, "au hasard".
 
Quel est, au fait, le but de ce mélange ?
Assez évident, me semble-t-il : faire en sorte que le résultat soit le plus aléatoire possible, c'est-à-dire "parfait".
Des études mathématiques (sérieuses) démontrent que le candidat idéal est le mélange américain, pour autant que l'on mélange le paquet huit fois : moins c'est pas bon, plus ça ne sert à rien.
Quant au mélange français, on obtient le même résultat (parfait) après plusieurs milliers de cycles : abandonnez-le !
Enfin, pour le mélange énumératif (ce terme est de votre serviteur), nous ne disposons d'aucune statistique valable.
 
Je termine en vous expliquant ceci : dans le mélange à l'Américaine, le paquet de cartes est coupé "à peu près" en deux, et ensuite les cartes s'intercalent, mais pas une par une.
En effet, si, de vos mains et doigts experts vous arriviez à couper exactement la paquet en deux et ensuite à intercaler les cartes une par une, et bien, le résultat pourrait bien n'être plus très parfait du tout car, après très exactement huit mélanges de ce type (tiens, tiens, tiens) vous retomberez nécessairement sur l'ordre du paquet de départ !
Heureusement que cela n'est en pratique pas possible !

Moralité de tout cela : si cela vous rebute de mélanger des cartes pour une partie de bridge, venez jouer chez nous !
 
 
 
 
 
 

 

Hebdobridge n° 140 : ouverture et développements avec un unicolore ou bicolore majeur fort

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Il est étonnant de constater que peu de joueurs de notre club, pour ainsi dire aucun ne sait comment ouvrir correctement, dans le Système d'Enseignement Français (SEF, la base en France et en Belgique) avec une des mains suivantes :

♠ A R V 6 5 4       ♥ A D 7              ♦ A      ♣ V 10 5
 
♠ A R D 6 4           ♥ A D 7             ♦ A      ♣ R 10 5 4
 
♠ A R D V 6 5 4     ♥ A 9 7             ♦ R 2   ♣ 5
 
♠ A R V 6 5            ♥ R D V 9 7      ♦ A R   ♣ 5
 
♠ A R V 6 5             ♥ A R D V 7 2  ♦ A D   ♣ -
 
♠ A R V 9 6 5          ♥ A R D V 7    ♦ A D    ♣  -
 
♠ A R D V 6 5 4 2  ♥ A                   ♦ V 2    ♣ 5 2
 
Vous constatez qu'il s'agit à chaque fois de mains fortes en points d'honneur, avec une ou deux majeures.
Un ancien de mes partenaires, avec de forts bicolores majeurs préconisait une ouverture de 3 Multi (voir l'hebdobridge n° 37) et moi, ignorant, je l'avais adopté.
Mais le contenu de la page 34 du SEF 2018 (Fédération Française de Bridge) est là pour vous dire : que nenni, pas de 3 Multi mais plutôt ...
 
Ouverture de 2♣ indéterminé suivi, après le relais obligatoire du partenaire à 2♦, d'une des enchères suivantes, en fonction de votre main :
 
2♥/2♠          Soit 6 cartes et 18-21H, soit 5 cartes et 21-22H
2SA             22-23H, main (semi-)régulière, mauvaise majeure cinquième possible
3♥/3♠          7 très belles cartes, 8 à 8 1/2 levées de jeu en majeure (9 levées de jeu en mineure)
3SA             5♥ et 5♠, 3 perdantes
4♣               6♥ et 5♠, 3 perdantes
4♦                5♥ et 6♠, 3 perdantes
4♥/4♠          8 cartes maîtresses et un As
 
Je compte sur vous, lecteur, pour faire le lien entre ce tableau et les exemples ci-dessus !

 

Hebdobridge n° 139 : les lois 20 et 40 du Code International de Bridge, édition 2017, le carton "Alerte"

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Résumer en un article tout ce qui, du règlement, concerne les enchères conventionnelles et la façon de les traiter est une mission
impossible !
De plus, au sujet du fameux carton "Alerte", le Code International édition 2017 renvoie au Règlement National des Compétitions édition 2017 et ... réciproquement !
Il faut dire que le Code est friant des renvois d'une loi à l'autre, créant ainsi un spaghetti qui n'a rien de Bolognais !
 
En ce qui concerne nos tournois de régularité, faisons simple : lorsque votre partenaire fait une enchère conventionnelle, posez le carton "Alerte" sur la table. Je sais que ce n'est pas toujours obligatoire, notamment si la convention fait partie des conventions décrites dans le SEF (Système d'Enseignement Français) : il ne faut pas alerter une "troisième forcing", ni un "Roudi", ni un 2 Sans-Atout fitté. Mais bon, si vous n'êtes pas certain que l'enchère conventionnelle du partenaire fait partie du panel des enchères reprises dans le SEF, alertez-là !
 
Et vous, voyant de carton alerte adverse, ne vous enquérissez d'explications que si cela peut changer quelque chose à vos enchères à vous : si donc ce n'est pas le cas, ne bronchez pas ... jusqu'à l'entame où là, avant qu'elle ne soit faite, vous pouvez demander de quoi il retournait.
 
Quelques exemples de situation :
 
1. Votre partenaire dépose son carton "Stop" et intervient à 2 Sans-Atout sur l'ouverture à sa droite de 1 Pique.
Vous posez le carton alerte et l'adversaire à votre gauche demande de quoi il s'agit.
Vous lui répondez honnêtement : "mon partenaire a un bicolore rouge" et dans la foulée ce dernier s'écrire "pas du tout !".
Que faire ?
C'est simple, appeler l'arbitre, car l'intervenant à 2SA doit se taire, bien que l'explication de son partenaire soit fausse. Il doit appeler l'arbitre, directement ou à la fin des enchères.
 
2. En Nord, donneur, votre main est la suivante :  ♠ ARV65432  ♥ 87  ♦ 10 ♣ 54
Vous ouvrez de 2♠. Est demande à Sud de quoi il s'agit.
Sud répond : faible avec six cartes à Pique.
Or vous avez 8 cartes à Pique.
Devez-vous rectifier l'explication ?
Et si oui, quand ?
Réponse : jamais ! En effet, la loi 40.C.1 dit ceci : "Un joueur peut déroger aux agréments de son camp mais à condition que son partenaire n’ait pas plus de raison que les adversaires d’être conscient de la dérogation".
En bref, vous avez en quelque sorte trompé vos adversaires, mais aussi votre partenaire. C'est votre droit le plus strict.
 
3. Voici une séquence d'enchères "classiques". J'ai noté d'un point d'exclamation les enchères qui ont été alertées.
 
Nord      Est          Sud          Ouest                     Note
1♠           Passe    2SA !        Passe                    2SA > fitté 11+HLD
3♠ !         Passe    3SA !        Passe                    3♠ > 15-17H et un singleton ou une chicane. 3SA > dans quelle couleur ?
4♦ !         Passe    4♥ !           Passe                    4♦ > en Carreau.  4♥ > contrôle Coeur         
4SA        Passe    5♣ !           Passe                    1 ou 4 clefs
6♠           Fin
 
A la place d'Est ou de Ouest qui ont des jeux quasi "blancs", je ne demanderai aucune explication sur ces six enchères conventionnelles durant les enchères, mais bien avant l'entame !
 
4. Votre partenaire en Sud ayant ouvert de 1 Coeur, suivi d'un Passe adverse, vous avez déposé votre carton "Stop" et celui de 3 Coeur.
Votre partenaire reste muet et on en reste là. Contrat de 3 Coeur par Sud.
Suite à l'entame, vous déposez vos cartes et là, stupéfaction de vos adversaires : vous avez 4 Coeurs de l'As et 3 petits Piques, Carreau et Trèfle.
Mais enfin s'étonne l'entameur, vous avez fait un soutien à saut et êtes faible de chez Faible !
Vous devriez, d'après le SEF, avoir environ 11HLD !
Arbiiiitre !
Il a bien raison : l'arbitre se presse d'arriver à la table et analyse rapidement la situation : les défenseurs ont à eux deux environ 28 HLD avec un fit Pique, mais ils se sont tus, pensant à juste titre que vous aviez ces 11HLD annoncés et donc eux, largement moins de 20.
L'arbitre attribue un score ajusté, en votre défaveur.
Vous aurez tout le temps d'exiger de votre partenaire, à la fin du tournoi qu'il vous offre un pot au Bistro du coin, par oubli d'alerte !
 
 
 

 

Hebdobridge n° 138 : les lois 45, 46 et 47 du Code International de Bridge, édition 2017

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Nous nous en tiendrons ici aux cartes du mort jouées par le déclarant, sans toutefois entrer dans tous les détails, souvent tordus, du règlement !
 
Dura lex sed lex
 
Loi 45 : "Le déclarant joue une carte du mort en la nommant, après quoi le mort la prend et la place face visible sur la
table. En jouant de la main du mort le déclarant peut, si nécessaire, prendre lui-même la carte souhaitée."
De plus, "Une carte du mort est jouée si elle a été délibérément touchée par le déclarant, sauf dans l’intention soit
de ranger les cartes du mort soit d’atteindre une carte au-dessus ou en dessous de la ou des cartes touchées."
Enfin, "le mort ne doit ni toucher ni indiquer une carte de son jeu sans instruction du déclarant"
 
A retenir de cette loi : c'est le déclarant qui indique les cartes du mort à jouer, pas le mort qui est et reste ... "mort".
Même s'il semble évident quelle carte du mort fournir, ce dernier doit impérativement attendre que son déclarant désigne la carte à jouer : la distraction, ça existe !
 
Loi 46 : "En appelant une carte du mort pour la jouer, le déclarant devrait énoncer clairement à la fois la couleur et le rang de la carte désirée."
Il y a cependant un peu de flexibilité : "Si le déclarant, en jouant du mort, appelle « gros » ou toute autre formulation similaire on considère
qu’il appelle la plus forte carte de la couleur indiquée."
Idem pour "petit" et d'ailleurs, si le déclarant n'indique que la couleur, c'est la plus petite carte qui doit être jouée : "Si le déclarant désigne une couleur mais non un rang, on considère qu’il appelle la plus petite carte de la couleur indiquée."
Enfin, et peu de joueurs le savent : " Si le déclarant indique un jeu en ne nommant ni la couleur ni le rang (par exemple en disant « jouez n’importe quoi » ou toute autre formulation similaire), n’importe quel joueur de la défense peut choisir la carte du mort."
 
Mise en situation
 
1. Assis en Sud vous êtes mort. Votre gentille partenaire, déclarante joue Coeur de sa main. Est fourni et elle vous dit : "petit Coeur".
Comment réagissez-vous : non, ce n'est pas, quoi que vous l'espériez, une proposition pour la soirée. Jouez simplement le plus petit Coeur de votre main et pour ce soir, espérez...
 
2. Nord, déclarant, est à la tête du contrat de 4 Pique.
Après avoir extirpé les atouts adverses, à un moment donné, il joue un Carreau maître de sa main. Le mort n'en a plus.
Le déclarant dit : "joue n'importe quoi". Le mort s'apprête à défausser un Trèfle, mais Est dit : non, non, qu'il coupe ce Carreau !
En tant que déclarant, comment réagissez-vous ?
 
3. Au mort à l'As de Pique, le déclarant dit "Roi". Or il y a au mort le Roi de Pique, de Coeur et de Carreau.
Lequel le mort doit-il jouer ?
 
4. Le déclarant, toujours assis en Sud, joue le 3 de Carreau de sa main. Est fourni le 2 et le déclarant dit "prend" : en Nord, vous avez dans cette couleur l'As, le Roi et le 10. Quelle carte devez-vous jouer ?
 
5. A Sans-Atout, Est, en main, joue le Valet de Pique. Le mort détient l'As et la Dame de la couleur. Le déclarant dit "Dame". Ouest met illico le Roi mais le déclarant se ravise : "non, pardon, mets l'As". Est-ce autorisé, à ce stade ?
 
6. Grand Chelem Carreau, joué par Sud (comme d'habitude !). A la troisième levée, Sud joue petit Coeur de sa main, Est met l'As, et le déclarant  dit à son partenaire "coupe", alors qu'il y a encore le 2 de Coeur au mort. Le mort obéit et coupe, car il ne peut intervenir verbalement. Correct ?
 
Solution
 
1. L'espoir fait vivre...
2. Le déclarant n'a plus rien à dire, il doit couper du mort !
3. Le Roi de Pique, bien sûr
4. Il faut mettre le 10
5. Que nenni, car Ouest a déjà fourni
6. Absolument pas, la défense devrait, ici, faire rectifier ou appeler l'arbitrer si le déclarant est de mauvaise foi !
 
 

Hebdobridge n° 137 : la loi 7 section B article 2 du Code International de Bridge, édition 2017

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Cela ne vous dit sans doute rien, et pourtant : la loi en question impose à chaque joueur, avant de regarder les cartes de sa main, de les compter pour vérifier qu'il en a bien exactement treize.
La loi stipule précisément ceci : "Chaque joueur compte ses cartes faces cachées pour s’assurer qu’il en a bien treize..."

L'observation du comportement des joueurs de notre club permet facilement de déterminer les joueurs qui ont déjà participé à des tournois de plus grande envergure que les tournois de régularité auxquels nous sommes habitués : ces joueurs-là comptent leurs cartes. D'autres aussi, bien sûr, mais pas tous.
 
Alors, comment compter ses cartes ?
 
Je vous livre les différentes techniques de comptage que j'ai observées dans notre club : si vous ne comptez pas vos cartes, à présent faites-le, c'est obligatoire, et vous avez ici l'embarras du choix de la façon de procéder.
 
1.MT : compte ses cartes en les déposant une à une sur la table, chaque carte émettant un petit bruit sec.
2.PT : ouvre son jeu en éventail faces cachées, plus bas que la table et fait un comptage visuel rapide.
3.AB : compte ses cartes faces cachées, en les faisant passer d'une main à l'autre.
4.PV : ouvre son jeu en éventail faces cachées, sur la table, mais le jeu est légèrement et mal incliné.
5.JP : dépose ses cartes en tas sur la table et, avec pouce et index, fait défiler les cartes en les comptant : tac, tac, tac ...
6.XZ : soupèse ses cartes et estime ainsi au poids, si le compte y est.
7.NB : dépose son paquet de cartes sur la table et estime si l'épaisseur du paquet correspond bien à treize cartes.
8.GD : ouvre son jeu comme pour jouer et compte ses cartes en les voyant.
9.JH : range ses cartes par couleur, sans les compter.
10.FR : attend que les autres aient compté leurs cartes et si personne ne rouspète, c'est qu'il a bien treize cartes aussi.
 
Clairement, les techniques 1 et 5 abîment légèrement les cartes, et cela peut faire un peu de bruit : nous les déconseillons vu que les cartes vont ensuite passer dans notre machine infernale à distribuer les cartes et les cartes abîmées, elle n'aime pas.
Technique 3 : il y a un risque qu'un autre joueur puisse visualiser l'une ou l'autre carte lors du comptage.
La technique 4 permet à son partenaire de visualiser discrètement ses cartes vu que le jeu est incliné en sa faveur.
La technique 9 est celle majoritairement appliquée par nos joueurs : elle est interdite, puisqu'il n'y a pas comptage et ...
La technique 8 est également fautive car s'il compte par exemple quatorze cartes, il sait quelle carte ira chez celui qui n'en a que douze.
La technique 6 : ne l'utilisez que si vous êtes capable de faire la différence entre 26,3 et 28,5 grammes (soit 2,2 grammes)
La technique 7 exige que vous puissiez détecter une différence de 0,3 millimètres dans l'épaisseur du paquet.
La technique 10 est celle des paresseux.
 
Il n'y a donc qu'une seule façon valable et légale de procéder : la technique n° 2.
Tiens, c'est justement la mienne !
  1. Hebdobridge n° 136 : souvenir d'une donne de dingue
  2. Hebdobridge n° 135 : l'historique du bridge
  3. Hebdobridge n° 134 : quelques donnes "préparées" (suite n° 1)
  4. Hebdobridge n° 133 : quelques donnes "préparées"

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Classements divers

  • Top ten provisoire 2025
  • Classement de la sortie club 2025
  • Classement définitif 2024

Comité

  • Mot de passe perdu ?
  • Identifiant perdu ?

Les Cercles

  • Règlement d'ordre intérieur
  • Joueurs (dernière mise à jour le 25 mai 2025)
  • Statuts
  • Tarif des boissons (janvier 2025)
  • Prix

Tournois

  • Tournoi du jeudi 3 juillet 2025
  • Participants au prochain tournoi
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  • Tournoi du vendredi 27 juin 2025
  • Tournoi du jeudi 26 juin 2025
  • Tournoi du mercredi 25 juin 2025
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